Mass Effect 2 Venir sur Xbox 360, Windows dans "Début 2010"

Beaucoup d'entre vous ont vraiment, vraiment creusé Mass Effect de Bioware. Je ne l'ai pas fait. Autrement dit, je ne l'ai pas creusé avec autant d'enthousiasme. En fait, je l'ai marqué 60 points sur l'échelle de 100 points de PC World, ce qui se traduit par «légèrement mieux que la moyenne». Pas un mauvais score. Certainement pas un commentaire négatif. Quoi qu'il en soit, il a suscité 1 823 votes négatifs contre seulement 202 votes «oui» dans notre système de recommandation, qui est facilement biaisé et qui est faussé.

La réponse solitaire est la suivante:

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Le critique est clairement une personne qui méprise les RPG. [Ou plutôt, Bioware avait-il complètement ignoré les éléments de l'histoire et mis toutes ses ressources à faire de Mass Effect un autre clone de Halo 3? Pourquoi une telle personne est autorisée à revoir un jeu dans un genre qu'il déteste si clairement est au-delà de moi.

Attention, cheval mort sur le point d'être flagellé: je réalise que certains lecteurs ne peuvent pas réconcilier une moyenne de 50% à que même alors certains joueurs approuvent les règles conventionnelles des diplômés, c.-à-d. que tout ce qui est en-dessous d'un A-moins équivaut à «échouer», mais cela ne rend pas cette réponse moins fausse. Puisque nous utilisons l'échelle absolue, un 50 est notre médiane, c'est-à-dire ni meilleur ni médiocre.

Je ne m'attends pas à ce que la défense l'emporte fermement, mais si vous êtes plus ouvert d'esprit, rappelez-vous la prochaine fois que vous voyez un 60 ou 70 pour cent, avant de bobiner invective à propos d'un critique méprisant quelque chose. "Despise" est l'un de ces descripteurs extrêmes de la censure réservés à des jeux exécrables comme Badday L.A. ou Custer's Revenge d'American McGee. Sur une échelle de 100 points, "mépriser" serait en fait un 0 plat, ou au mieux, un très généreux 10.

Pour mémoire, j'adore les jeux de rôle sur ordinateur. Avoir depuis les jours de Ultima et The Bard's Tale et SSI Gold Box série. Ils sont en fait mon genre préféré, ce qui peut expliquer ma réponse tiède à Mass Effect. Ce n'est pas un mauvais jeu, mais je ne suis pas convaincu qu'il s'agisse d'un jeu de rôle (à un niveau comme Baldur's Gate 2 de Bioware).

Oh, Mass Effect a des statistiques de personnages que vous pouvez bricoler, et les panneaux empilés jusqu'à la garde avec le savoir de la source. Mais tout est structuré comme une vitrine autour d'une histoire inflexible et médiocre entrecoupée de sections maladroites de tireur à la troisième personne (comparez avec les œuvres de vrais maîtres comme Gene Wolfe ou China Mieville ou Iain M. Banks, et pourquoi ne devrions-nous pas en attendre autant? ?).

Voici comment j'en ai décrit certaines dans ma revue:

… dans Mass Effect … les sections parlantes se déroulent comme des ondes sinusoïdales plates, ponctuées par des segments maniaques en dents de scie. D'une part, le système a été bien affiné pour permettre une stimulation plus naturelle en vous permettant de choisir une approche conversationnelle avant que quelqu'un d'autre finisse de parler. Mais c'est toujours comme jouer le singulier descendant d'un vieux livre à choisir soi-même, avec des poussées d'action inélégamment prises en sandwich entre des arbres de dialogue exhaustifs qui ne changent pas le jeu à proprement parler. En douceur ou non, vos conversations ne façonnent pas votre expérience dans Mass Effect autant que vous mélanger comme un agent FedEx étrangement glib.

Je ne vais pas réitérer ma liste de questions supplémentaires. Tout le monde connaît les ascenseurs poky et les bugs de mission générale. Personne ne semble avoir fait attention au dialogue monotone ou à l'histoire inélastique avec ses fins «alternatives» superficielles. Et je suppose que nous sommes supposés passer la reconnaissance offensivement générique de la planète, même si le shtick de Mario Bros était carrément honteux.

Était l'ennemi allié et ennemi. heinously featherbrained? "Alors quoi", a répondu une majorité de critiques ainsi que des joueurs. Idem pour les éléments de tir peu profonds qui représentaient environ un cinquième de la complexité tactique de Rainbow Six Vegas.

Au lieu de cela, "Les graphismes sont incroyables et incroyables!" décrit la plupart des critiques suffisamment. Mon problème? J'ai cessé de me soucier de la musculature visuelle il y a des années. Donnez-moi une réalité parfaitement simulée et je n'augmenterais pas le score de mon test d'un dixième de un pour cent.

Entrez Mass Effect 2 pour Xbox 360 et Windows, vient d'être annoncé hier, début 2010. Voici ce que EA a tapé pour le moteur d'écho.

La trilogie Mass Effect est une aventure de science-fiction magistrale dans un vaste univers rempli de formes de vie extraterrestres dangereuses et de mystérieuses planètes inexplorées. Dans ce second chapitre sombre, l'armée maléfique des soldats Geth de Saren vient d'être vaincue, et les humains, qui luttent encore pour faire leur marque sur la scène galactique, sont maintenant confrontés à un péril encore plus grand …

"Nous allons Pour dépasser l'extraordinaire expérience de jeu, nous avons apporté nos fans à Mass Effect en offrant des combats intensifs et des options d'armes étendues ainsi qu'une exploration plus approfondie de la planète, tout en livrant une histoire puissante et émotionnelle », a déclaré le Dr. Ray Muzyka. PDG, BioWare et directeur général et vice-président, EA. "Mass Effect 2 se présente comme une expérience RPG-shooter inoubliable, emmenant les joueurs dans un tour de montagnes russes sans arrêt rempli de superbes rebondissements et d'une action sans limites."

Et voici la bande-annonce.

J'aime ce forage de Bioware sur l'exploration de la planète. Les planètes de Mass Effect étaient ennuyeuses et oubliables et ont totalement détruit mon penchant à m'égarer hors du chemin.

Je suis aussi en retrait avec la revendication de «histoire émotionnellement engageante», même si je m'attends à ce que cela soit dit plus naturellement. non pas, comme dans l'original, en trottant le protagoniste entre des signes bipèdes obséquieusement conversationnels (c'est-à-dire tous les personnages non-joueurs de Mass Effect) où chaque option de dialogue commence irritable "Tell me about …" ou l'équivalent interrogatif le plus proche. Vraiment être un "inoubliable … expérience", et "un tour de montagnes russes non-stop" avec "rebondissements étonnants" et "l'action sans retenue"?

Nous verrons.

Matt Peckham se demande pourquoi il n'y a pas plus de RPG de science-fiction hardcore dans la tradition Heinlein / Asimov / Clarke. Vous pouvez spéculer avec lui sur twitter.com/game_on.