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C'est vrai Apple a considérablement augmenté sa part du marché des systèmes d'exploitation de bureau depuis la sortie de Windows Vista en novembre 2006, la part de marché de l'entreprise reste inférieure à 10% et a baissé au premier trimestre 2009 selon le rapport Worldwide PC Shipment de Gartner.
Pour la plupart des observateurs, il est assez clair que les échecs de Vista ont donné aux gens une raison de jeter un nouveau regard sur le Mac. Et en soi, OS X est devenu un système d'exploitation robuste, fiable et riche en fonctionnalités. Il séduit à la fois le technicien qui est attiré par ses fondements UNIX et le néophyte qui veut un ordinateur qui fonctionne. En outre, Apple a toujours fait appel à des professionnels de l'audio, de la vidéo, des arts graphiques et de l'édition. Fondamentalement, le Mac fait appel à des gens qui sont prêts à payer pour quelque chose qui est un peu plus haut.
Steve Jobs et la société ont été trop avares de leurs résultats. S'il est difficile de critiquer une entreprise qui fait du bon travail dans les 10% supérieurs du marché de la consommation, ce qui se traduit par des marges bénéficiaires exceptionnellement robustes, j'aurais aimé qu'Apple ouvre la main pour atteindre les 25 premiers … 30% des consommateurs d'ordinateurs. Il faudra s'attaquer à ces clients alors que l'économie réduit le nombre d'acheteurs haut de gamme à l'Apple Store.
Pour ce faire, l'entreprise besoin de quelques produits supplémentaires.
1. Un netbook : Steve Jobs dit qu'Apple ne sait pas comment faire un ordinateur de moins de 500 $ qui n'est pas une poubelle. J'appelle BS. Si Acer et Asus peuvent faire un paquet assez chouette pour moins de 300 $, Apple aurait certainement pu en vendre un pour 500 $ tout en conservant une marge bénéficiaire saine. Ils auraient pu ajouter un écran tactile qui prend en charge les gestes et multi-touch sur un OS complet comme OS X. Les clients - en particulier les fidèles Mac - les auraient mangé à 600 $ - 700 $ par pop. Les gens ont soif d'un produit comme celui-ci, si bien qu'il existe un certain nombre de sites Web qui vous donneront des instructions étape par étape pour convertir les netbooks les plus populaires en "Hackintoshes".
Au lieu de cela un iPod touch surdimensionné et trop cher. Qui se soucie d'un produit comme ça? Nous sommes seulement prêts à supporter l'iPhone sans clavier, car c'est un compromis raisonnable pour un appareil qui devrait tenir dans votre poche. Pour quelque chose avec un écran de 8,9 pouces à 10,2 pouces, je veux un clavier et un OS de bureau complet (un qui, vous le savez, fonctionne réellement avec Flash). Le produit sans âme dont la rumeur parle est aussi efficace que le Apple Newton ou le Sony Magic Link. ("Magic quoi?" Exactement.)
2. Un ordinateur de milieu de gamme: pour les utilisateurs de bureau, nos choix actuels sont le Mac Mini, encore trop cher, mais trop cher, l'évolutivité limitée de la gamme iMac, et le Mac Pro puissant mais cher. Il y a des tonnes de gens qui veulent une mini-tour à prix moyen qui leur permettra d'utiliser le moniteur de leur choix, échanger la carte vidéo, ajouter des disques supplémentaires, etc. Apple pourrait vendre le modèle de base pour 1200 $.
3. Un ordinateur portable d'affaires : Apple aurait pu vraiment faire un bond sur la part de marché du système d'exploitation de bureau, mais a plutôt choisi de le jouer près de la poitrine. L'entreprise a maintenu sa stratégie de profit généralisée. Cela a peut-être été la meilleure chose pour la rentabilité à court terme, mais si Apple avait été disposé à cannibaliser certaines de ses ventes de produits existantes et était plus agressif dans les prix, ils auraient pu prendre une plus grande part du marché. Ils auraient pu avoir plus de poids pour des bénéfices encore plus importants dans les années à venir.
Maintenant, il sera peut-être trop tard. Je ne dis pas que Apple ne va pas continuer à réussir et rentable, seulement qu'une fenêtre d'opportunité se ferme.
Windows 7 est à l'horizon. Les réponses préliminaires montrent que les gens sont excités à ce sujet. Il aborde plusieurs des plaintes que les gens avaient à propos de Vista et offre un certain nombre d'améliorations en termes de convivialité et de performance. Ce ne sera probablement pas le fouet pour Apple que Vista a été.
Au final, Win 7 n'est peut-être pas meilleur que OS X, mais ce n'est pas forcément le cas. Ça doit juste être plutôt bon. La fenêtre d'opportunité de près de trois ans du Mac pour prendre le marché du bureau est sur le point de se fermer. Apple aurait pu faire mieux.
Michael Scalisi est un directeur informatique basé à Alameda, en Californie.
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Pourtant, la technologie joue un rôle croissant dans la reconstruction de l'Afghanistan, a déclaré Amirzai Sangin, ministre des Communications et des Technologies de l'information de l'Afghanistan. un, sont devenus populaires dans la nation. Maintenant, les gens peuvent appeler à l'aide en cas d'urgence médicale ou signaler une activité suspecte. Les stations de base de téléphonie mobile ont été ciblées par les talibans sur de tels appels.
EMC a donné des pots-de-vin à ses partenaires et a surfacturé la General Services Administration des États-Unis, selon le ministère de la Justice, intervenant dans un procès intenté par des dénonciateurs. Le ministère de la Justice a déclaré lundi que le prix de ses contrats était plus élevé et que, par conséquent, le gouvernement était surchargé de produits et de services. La GSA achète des produits et des services pour d'autres agences fédérales.

En outre, EMC a donné de l'argent et d'autres avantages, notamment des avantages d'alliance, à des intégrateurs de systèmes et à d'autres partenaires. Ces paiements équivalaient à des pots-de-vin et à des relations non divulguées qui créaient des conflits d'intérêts, a indiqué le ministère de la Justice. Les allégations concernent de nombreux contrats gouvernementaux négociés par EMC entre la fin des années 1990 et aujourd'hui. Le gouvernement pourrait récupérer trois fois ses pertes, plus les p
Le juge donne un cadeau coupable-un cadeau

La réduction de l'amende rend les deux parties mécontentes;