Guillaume Soro : "Je vais réfléchir" à une candidature à la présidentielle de 2020
Au début de mai, des enquêteurs du monde entier se sont rencontrés au siège d'Interpol à Lyon, en France, pour mettre en commun des informations sur certains de leurs cas les plus difficiles. L'Opération Infra-Rouge 2010 (pour International Fugitive Round-Up et Arrest - Red Notices) a été très utile, mais pas autant qu'Interpol l'aurait souhaité. Deux mois après que les enquêteurs ont commencé leurs échanges, seulement 107 des 450 cibles ont été arrêtées ou localisées.
"Ce qui nous reste maintenant, ce sont les cas où nous n'avons aucune nouvelle information sur leur localisation", a déclaré le coordinateur de l'Opération Infra-Rouge. Martin Cox, directeur adjoint de l'unité de soutien aux enquêtes fugitives d'Interpol, dans un communiqué publié sur le site Web de l'organisation.
L'opération devrait prendre fin le 16 juillet, ce qui incitera Interpol à demander aux internautes de 343 suspects et criminels toujours en fuite. "Il est plus probable que quelqu'un reconnaisse l'un de ces fugitifs sur un site de réseautage social ou dans un salon de discussion plutôt que de les voir marcher dans la rue", a déclaré Cox.
Interpol veut notamment des informations sur le sort de 26 suspects sur sa liste. Certaines des personnes recherchées sont en fuite depuis les années 1990.
Les États membres d'Interpol participant à l'opération Infra-Red ont également leurs propres cibles, le Bangladesh, la Biélorussie et la Lituanie ayant le plus de suspects.
Le modèle colombien Angie Sanclemente Valencia a été arrêté le 26 mai en Argentine, où il était recherché pour trafic de drogue.
L'arrestation du contrefacteur soupçonné Mouamba Munanga de la République démocratique du Congo, d'autre part Munanga a été arrêté en Afrique du Sud le 16 juin.
Peter Sayer couvre les logiciels libres, la législation européenne sur la propriété intellectuelle et les nouvelles générales sur les technologies de l'information pour IDG News Un service. Envoyez vos commentaires et conseils à Peter à [email protected].
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En avril, Prasad a déclaré à IDG News Service que son groupe de chercheurs avait accès à une EVM opérationnelle. lors d'une élection par le biais d'une source anonyme.