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Google assemble des pièces pour Facebook

J'ai assemblé le BLASTER NERF ULTIME Regulator Tri-Strike ECS-10 Jouet Hasbro Modulus

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Anonim

Il ne faut pas s'étonner que Google se blottisse contre les développeurs de jeux, surtout si elle a l'intention de lancer son soi-disant "Google Me" Facebook alternative. Les jeux sociaux sont plus chauds qu'un poker dans un haut fourneau et seraient importants pour engraisser la ligne de fond de n'importe quel nouveau concurrent de Facebook. L'un des jeux les plus populaires de Facebook, Zynga's Farmville, attire 60 millions de membres actifs par mois. De plus, on estime que les joueurs en Asie dépensent des milliards de dollars pour les jeux, tandis qu'aux États-Unis, ThinkEquity chiffre les revenus des jeux sociaux à 700 millions de dollars en 2009 et prévoit que ces revenus tripleront en 2012. Ces chiffres ne sont pas seulement attrayants. Google, mais aussi des poids lourds du divertissement, comme Disney, qui vient d'acheter Playdom pour 563,2 millions de dollars, plus 200 millions de dollars pour répondre aux incitations à la performance.

Une alternative à Facebook serait bien accueillie par de nombreux développeurs leurs marchandises. Actuellement, Facebook prend une réduction de 30 pour cent des revenus réalisés par les jeux qui utilisent son service. En effet, la nécessité de se diversifier a poussé l'un des plus grands développeurs de Facebook, Zynga, à conclure un accord avec Yahoo et à ouvrir ses portes à un investissement de 100 millions de dollars de Google.

Google peut tenir le coup quand il s'égare dans le gazon de Facebook. Si l'incursion du géant de la recherche avec Google Buzz sur le territoire de Twitter est une indication de l'issue d'un tel affrontement, les joueurs de paris auraient mieux mis leurs jetons sur Facebook.