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Gestes configurés pour secouer les interfaces utilisateur mobiles

STOPCOVID : EN MARCHE VERS LE TOTALITARISME EN COSTARD

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Anonim

Les écrans tactiles ont radicalement changé la façon dont les gens utilisent les téléphones mobiles. Selon Christian Lindholm, expert en interface mobile, les commandes gestuelles, la réalité augmentée et les écrans de plus grande taille sont en train de changer encore plus les habitudes. Nous verrons plus de capteurs dans les appareils capables de transformer l'expérience des utilisateurs mobiles et d'autres types de mouvement, selon Lindholm, le directeur général de Fjord, un cabinet de conseil exposant à l'IFA qui s'est spécialisé dans la construction d'interfaces utilisateur mobiles. La société a aidé la BBC à construire la version mobile de son iPlayer, qui a été nommé meilleur service de musique ou de vidéo mobile au Mobile World Congress plus tôt cette année.

L'utilisation de gestes et de mouvements pour contrôler les téléphones a déjà commencé. Certains appareils Nokia permettent aux utilisateurs de rejeter les appels en les retournant, et l'iPhone a une fonction «secouer pour défaire». Une autre façon évidente d'utiliser la technologie serait de partager des fichiers avec un coup de poignet ou en touchant des appareils, dit Lindholm.

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Des normes de facto pour ces contrôles gestuels finiront par émerger, de sorte que les tâches peuvent être effectuées de manière similaire avec différents dispositifs, selon Lindholm.

Il a aussi une entreprise parallèle appelée Tech21, qui travaille sur une technologie cela peut remplacer le clavier d'un téléphone avec un trackpad, qui pourrait alors être utilisé pour détecter différents gestes. "C'est intéressant parce que nous avons de la pression, donc nous pourrions mettre une pédale d'accélérateur et une pédale de frein sur les clés", a déclaré Lindholm.

La technologie arrivera sur le marché dans quelques années, at-il dit. Toutefois, le contrôle des gestes pourrait également devenir une mine d'or pour les avocats. Des entreprises comme Nokia ont commencé à breveter des gestes, selon Lindholm, qui n'a pas encore décidé si c'est une bonne ou une mauvaise chose.

Les droits de propriété intellectuelle peuvent être une bonne chose s'ils sont associés au bon sens, a-t-il dit.

Un autre domaine émergent qui pourrait transformer la façon dont nous utilisons les téléphones mobiles et percevoir le monde physique est la réalité augmentée, une technique qui superpose des informations ou des annotations pertinentes à une vision de la réalité, peut-être d'un l'appareil photo du téléphone. Les smartphones modernes sont parfaits pour cette application, car leurs récepteurs GPS et leurs accéléromètres permettent au logiciel de déterminer où se trouve le téléphone et de quelle manière il pointe.

Le plus difficile sera de l'utiliser pour obtenir des informations sur quelqu'un en parlant avec lui. selon Lindholm: Tenir un téléphone devant une personne sans raison apparente n'est pas encore socialement acceptable.

Il y a encore beaucoup de travail à faire sur une interface utilisateur qui peut fonctionner dans cette situation. Lindholm a déclaré: <

La taille de l'écran fait partie intégrante de l'interface utilisateur. Selon Lindholm, il est plus facile de développer une bonne interface utilisateur sur un écran plus grand, et les vendeurs sont dans une course pour mettre de plus grands écrans sur les téléphones mobiles.

Mais comme l'écran grandit, la taille des appareils ils sont considérés comme trop gros, ils vont mettre les utilisateurs hors tension. L'iPhone était un pionnier non seulement pour son écran tactile et son magasin d'applications, mais aussi pour la largeur de son corps, à 61 millimètres pour la première génération et 62,1 millimètres pour la 3G et la 3GS.

«Pour moi, c'est fantastique que personne n'a osé défier Apple sur la largeur parce qu'il est alors perçu comme étant trop large ", at-il dit.

Si un téléphone a une grande expérience utilisateur, un corps extra-large peut être acceptable pour les utilisateurs. Mais il est rare que les appareils aient été capables de livrer cela, alors jouer au jeu de la taille est risqué, dit-il.

Les écrans qui arrivent dans quelques années et qui se replient ou se retirent pourraient cependant résoudre ce problème. Samsung a montré des écrans pliables, dit Lindholm.

Concevoir des logiciels pour les téléphones n'est pas une mince affaire. En plus des écrans plus petits, les développeurs doivent faire face à des utilisateurs qui bougent beaucoup et ne prêtent pas toute leur attention aux applications, ou ne les utilisent que par petites rafales.

"Lorsque les entreprises conçoivent leurs applications, elles oublient ou suppriment ces lois de la mobilité, et qui se traduit par une utilisation plus faible, plus d'erreurs de l'utilisateur et une absorption plus faible ", a déclaré Lindholm.